Nous serons bientôt dans la période des vacances et pour nous le départ signifie changement d'air, plaisir de changer d'horizon, rouler enfin hors de la ville, découvrir, s'enivrer de parfums,de boisons, de nourritures diverses, et finalement aussi et surtout retrouver ou trouver un havre de paix et de tranquilité pour quelques jours.

Nous dépendons pour ce faire soit de notre propre chef ( c'a'd nous-mêmes ) ou d'une agence de voyages, du conseil d'un ami...enfin si c'est un vrai ami.

Après un séjour aussi heureux que trop court souvent nous revenons gonflés ( enfin pas trop j'espère ) bronzés ( suffisamment pour faire palir de jalousie nos collègues ) et d'attaque pour se remettre au boulot.

Mais...est-on vraiment certain de revenir ? 

L'avion...attention à celui qui pilote.

La voiture....attention au passager ( passagère ) passisage...parfois.

Le bateau....méfiez-vous des capitaines un peu beaux gosses et trop bronzé qui aiment épater....

Le vélo....attention aux pavés...dans les mares et en dehors.

Le train....ça s'arrête quelquefois en rase campagne pendant des heures...prévoyez de la boisson.

Bon tout cela pour dire faites gaffe...et au plaisir de se revoir et de se réentendre....

Et pendant ce temps là, dans des pays en souffrances de vraies crapules proposent des voyages all-in pour un monde meilleur. Certains y arrivent beaucoup plus tôt que prévu mais sans assurance décès tout bénef pour ceux qui poussent à partir, remplissant ainsi une mission déterminée par des milliers de croyants en une vie meilleure, ceux que l'on ne tue pas directement dans ces pays en guerre on les envoie gagner  leur vie  (je parle de celle des passeurs ) sur le dos des incroyants. La boucle est bouclée. J'ai un gout de cendres dans la bouche tout-à-coup.

On nous prend décidément pour des pigeons...à moins que l'on ne mérite pas mieux. Depuis les années 1973-74 on nous à prédit la fin des gisements pétroliers, donc il fallait consommer moins, donc il fallait réduire sa vitesse ( voir le texte consacré à la vitesse ). Nous avons consommé moins, et tout justement, les pétroliers et les gouvernements ont vu dans le même temps les bénéfices diminués ET ..... ils ont automatiquement AUGMENTE l'essence et leurs TAXES. Paradoxe AU MOINS ON CONSOMME AU PLUS ON PAYE. Mais c'est normal, tu t'appelle par exemple ELECTRAMAN et tu vends de l'électricité. Tout le monde tombe sur le paletot des classes laborieuses...c'a'd vous et moi, et on nous dit POUR LA PLANETE consommez-moins, placez des panneaux voltaïques, isolez, priez, ET LA PART QUE VOUS CONSOMMEZ AUGMENTE DANS LA MEME PROPORTION que ce que la réduction de votre consommation. C'est pas clair....réfléchissez, au moins vous consommez AU PLUS VOUS PAYEZ car pour monsieur ELECTRAMAN ce qui compte c'est ce qui lui arrive dans la poche.....peu importe comment,  ni par qui.

AUTREMENT DIT, si on avait continué à consommer à tout berzingue, les réserves de pétrole se seraient peut-être épuisées plus vite et on aurait plus vite troiuvé des solutions alternatives, électriques ou autres...par exemple le moteur à hydrogéne ou oxygène.

ENFIN, ,nos politiciens, un peu rouges moirés de bleu, ont vendu notre électricité, soldé notre compagnie aérienne, vendu NOTRE EAU, et bientôt on va devoir à nouveau les élire pour qu'ils puissent continuer leur joyeusetés sur notre dos, N'y-a-t-il pas dans notre beau pays un sauveur.....un messie  qui mette ce petit monde au pas ?

Dans les pays capitalistes on a donné aux ouvriers et employés le droit de grêve pour équilibrer le pouvoir du capital par le pouvoir du travailleur. Le plus intéressant dans ce droit est de constater que dans les pays communistes....ou de gauche, ce droit n'était pas reconnu...et même carrément interdit . Voir le droit du travailleur en Chine.

La question que je pose, à vous qui faites grêve est CROYEZ-VOUS VRAIMENT EMBETER LES PATRONS ???

Et si cela arrangeait le capital que des ouvriers et des employés se tournent les pouces de temps et temps. On dit, mais peut-être n'est ce que rumeur, que dans certaines périodes de stagnation des ventes ou de difficultés économiques dans l'entreprise, des entretiens secrets avec les syndicats organiseraient une grêve " soupape".  Un peu de sous venant des caisses syndicales spéciales, et beaucoup de sous venant du citoyen lambda, et le tour est joué, on épargne par ci-par là quelques millions, bien vu les patrons.

Et si la vraie réaction face aux exigences patronales serait de s'attaquer aux proprétaires du pouvoir de l'entreprise, de dénoncer leur incurie, leur manque total de sens social, leur appétit inextinguible de pognon, de plus en plus de pognon. Eplucher les bilans, faires des enquêtes internes pour savoir qui recoit quoi, en échange de quel travail ou de quel ...silence. ET SI ON SE POSAIT LA QUESTION DE SAVOIR A QUI APPARTIENNENT CHATEAUX-BATEAUX-COMPTES SECRETS dans des pays complaisants.Plutôt que de vous battre dans la rue, si on se battait sur le terrain de ceux qui détiennent le pouvoir. Si les citoyens s'impliquaient d'avantage dans la gestion...avec c'est vrai les risques que cela représente de connaître la réalisté des chiffres mais si les connaissant CHACUN ferait sa part de boulot EN PARTAGEANT LES VRAIES RESPONSABILITES ?

Certains ont appelé cela la co-gestion, et ici et là on s'organise de la sorte et CELA MARCHE. Mais il faut pour le faire BEAUCOUP - BEAUCOUP DE COURAGE.